Sereins sont les vainqueurs,
Faisant courir leurs partenaires de guerre,
Percés sont les c?urs,
Non pas par l''amour mais le glaive.
Le rouge est l''unique couleur
Pour teinter ce spectacle macabre d''une nouvelle ère.
Comme un désordre de chaires,
Une peinture de la peur.
Le sable rougit,
Tandis qu''il marche dessus,
Habib encourage ses amis.
? Vraiment Archal nous a dé?u !
Il a envoyé ce messager par crainte de se faire tuer !
Regarde maintenant les Marcheurs se repa?tre de ta cité ! ?
Cris de Joie !
Cris de Joie !
Cris de Joie !Love this story? Find the genuine version on the author''s preferred platform and support their work!
Les portes d''Archal vont s''ouvrir !
Point de réjouissance pour Tarshkila !
Sa défaite à été scellée ici-bas !
Par cet homme fort et malin, Habib !
Habib !
Habib !
Tel est le nom scandé par les gagnants !
Laetitia l''enlace tendrement !
Voilà une Victoire !
Voilà qu''ils marquent leur territoire !
Pourtant, dans les cieux, une créature ailée semble laisser tomber quelque chose.
Une chute libre, créative, curatrice pour les martyrs,
Et qui serait indescriptible via quelconque prose,
Une grace, beauté et douceur indomptable,
Comme une mousse sucré que l''on mange tel un nuage.
Son corps sous la pression du vent,
Virevoltant dans tous les sens,
Le son des frottements contre les vêtements,
Comme une agréable trans,
Pendant sa chute, elle fixe le ciel en long et en large
C''est avec ceci que tournée sera la page.
Elle s''écrase sur le sol.
Une fumée se lève.
Cette cape bleue et blanche qui s''élève.
Accompagnée d''un M bleu au dos jusqu''au bas du col.
Ses longs cheveux blancs comme neige,
Yeux d''une profondeur océanique.
Il déploie un immense disque d''acier bleuté l''air espiègle,
Qui est relié à une cha?ne à piques et atypique.
? Moi, Archal, 7e Grand Marquis,
Déclare Le Grand Massacre des Marcheurs pathétiques,
Votre randonnée se termine ici. ?
Il est vite encerclé.
Mais... Un froid se jette sur les combattants,
Saisissant leurs jambes,
Comme une armée de mains spectrales contraignantes,
La terreur les suspendent
De tout mouvement.
Voici les effets de l''épouvante.
Puis d''un coup, l''un cri ;
?Nous sommes les Marcheurs ! Invaincus et Indivisibles !
Jamais nous ne perdrons face à un seul type !?
Galvanisés, tels des tigres,
Tous se jettent sur lui.
Un geste vif,
Seulement un geste pas même désespéré.
Le mouvement d''une cha?ne,
Suffit à découper en rondelle plus de cent hommes,
Le disques et les piques déferlant leur rage sans peine.
Pluie de sang en trombe.
Archal attrape son arme comme un bouclier.
Laetitia, meurtrie et enragée, saute de son cheval pour le charger.
Le Marquis étend les bras pour accueillir la duelliste énervée,
Peut-être sau
rait-elle plus le surprendre que lors de leur dernière rencontre mouvementée ?