Les plumes se retractent sur les insectes
Les écumes sont emprisonnées sous la roche.
Une pluie noire torentielle s''abat sur les deux proches
Recroquevillés et cachant leurs têtes comme les membres d''une secte.
Quand bien même l''envie de se défendre venait,
Et que l''un d''eux lan?ait une lame sur la bête,
Celle-ci disparaissait.The genuine version of this novel can be found on another site. Support the author by reading it there.
Nul temps de se choquer de ce nouveau tour de passe-passe sec,
Car il venait de repara?tre derrière Jafer
Pour venir décorer sa jugulaire,
D''une paire de lames noirs, d''une paire de fers.
Ceci voyant,
Ezra pris la fuite larmoyante.
Il était ironique que les gouttes de plumes
Qui tombaient en trombe
Ne veuille s''embarquer avec les larmes salées couverte d''amertume,
Alors elle court, se relève si elle tombe.
Dans cette terre et cette forêt,
Elle avance et s''enfonce comme une damnée.
Mais Vinakari reparut aussit?t,
Décomposa une patte d''Ezra,
La transper?a,
Puis la jeta en un lieu où seule l''obscurité avait le dernier mot.
Elle était finie.
. . . . .
L''on apercevait le corps de Ruh flotter sur une rive.
Les corbeaux avait partiellement croqué sa peau et sa chaire
Qui pourtant reparaissait lentement et restait fra?che,
Une nourriture infinie.
Il était
fini.
. . .
Tarshkila, Début